Le harcèlement de mon ex-épouse.

J'ai laissé une part très copieuse de notre maison avec son contenu à mes enfants et à mon ex-épouse. Nous ne nous sommes pas séparés pour une histoire d'adultère.
Je règle la pension alimentaire rubis sur l'ongle depuis notre séparation en 2003, arrondie au dessus, réindéxée tous les ans sur l'indice de l'INSEE.
En plus de la pension, je suis loin d'être regardant pour le bien être des enfants.
Je fourni les preuves que je m'occupe bien d'eux. Bref, de quoi faire rêver des milliers de femmes divorcées. J'ai entrepris cette démarche "amiable" justement pour que les enfants.

Nous-nous sommes séparés en décembre 2003. Le divorce, en 2005, entre mon ex-épouse et moi, s'est déroulé par consentement mutuel, à l'amiable, entre personnes intelligentes, dans le calme et la sérénité. Sauf que la clause obligatoire sur le droit d'hébergement des enfants à été "zappée", et deviendra le motif de cette affaire (simple) racontée sur ce site.

Ensuite j'ai traversé une période de calme avant que mon ex-épouse me parle de plus en plus mal, sur mon répondeur, et devant son domicile.

Elle s'est mise en tête, entre autre, que j'ai passé mon temps à la tromper, et en est aujourd'hui archi convaincue. Elle le sait de sources sûres, mais depuis six ans que je le réclame, je n'ai jamais pu avoir de nom. Vous verrez plus loin jusqu'où elle est allé pour essayer de prouver l'inexistant, d'ailleurs ses messages téléphoniques en parlent à plusieurs reprises. Puis s'ajoute l'obsession des devoirs, des devoirs des devoirs. Une seule chose compte, faire faire les devoirs. D'ailleurs le mot "devoirs" ou ce qui tourne autour, est cité je pense plus d'une centaine de fois dans cette affaire. Notre fils aîné s'auto mutilera à cause des devoirs.

Profitant de mon calme et mon coté pacifique qu'elle connaît bien, les messages téléphoniques sur la messagerie de mon portable devenaient de plus en plus longs, insultants et rabaissants, jusqu'à se qu'elle finisse par m'insulter et me menacer sur son trottoir, totalement convainque que j'ignore les enfants.

(Un des témoins atteste "... j'ai vu Madame grimper sur le toit de son garage et se mettre à hurler sur Monsieur ..."
Un autre témoin "... Nous étions stationnés dans une rue adjacente, Madame a fait plusieurs dizaines de mètres pour nous imposer ses interdictions...")

Loin d'être violent et ne pensant qu'aux enfants, je suis devenu en quelques années, la tête de turc idéale dans son monde imaginaire.


En juillet 2006, deux mois avant de rencontrer ma compagne, et dix mois avant de rencontrer un avocat, j'appelais les gendarmeries de Joigny et d'Aillant sur Tholon, afin de trouver un moyen et une solution pour faire cesser ce harcèlement perpétuel de la part de mon ex-épouse, et réorganiser le droit d'hébergement qui dégénérait de pire en pire.

Voir ma facture détaillée de France Télécom de juillet 2006.
(On y voit les nombreux appels vers nos enfants, contrairement à ce que relatent les mensonges et les attestations de complaisance).
Voir la liste de dépenses pour nos enfants
Lire ou écouter des messages de harcèlement de mon ex-épouse

Ne cherchez pas quelque chose de faux sur ce site, il n'y en a pas.