Les réponses de mon avocat :

- L'arrangement amiable impossible
- L'implication totale des enfants
- Notre fils étant son soutien psychologique
- La quantité invraisemblable de mensonges
- Ses attestations de complaisance
- Les probèmes créés pour l'audition de l'enfant
- L'audition de l'enfant qui confirme pourtant l'intérêt de ma démarche
- Sa requête rendue caduque
- Sa lettre envoyée au gendarme
- La saisie de la " Cours d'Appel de Paris " pour une question d'heures
- Ses propos diffamatoires uniquement pour arriver à ses fins
- L'accueil à son domicile

- Le harcèlement

Après analyse de tout ça, mon avocat a dressé des conclusions qui sont beaucoup plus brèves, pas du tout diffamatoires, alimentées de preuves irréfutables versées par le juge de Sens, et un témoignage de l'accueil au domicile de mon ex-épouse. Un seul mot (et non 7 pages) conclus cette affaire, " les problèmes psychiatriques " de mon ex-épouse.

Ne pouvant plus se défouler sur mon répondeur, il ressort parfaitement que la cours d'appel n'est pas saisie dans l'intérêt de l'enfant, mais bien pour me nuire l'existence comme elle l'a toujours fait, il suffit de comparer les deux conclusions pour le comprendre. Mon ex-épouse ayant des moyens financiers que je suis très loin d'avoir, une grosse partie de son œuvre est déjà en action. Cela confirme le harcèlement que j'endurais depuis notre séparation en 2003.

- J'ai proposé un arrangement amiable qui n'a pas abouti
- J'ai accepté sa requête qu'elle a rendue caduque

Puisque tout est vain, cette fois je demande dans les conclusions à imposer un souhait dans l'intêret de l'enfant, parce que quoiqu'il en soit, ça n'ira jamais.

- Comme le précise le jugement, comme pour des milliers de couples séparés, je demande à prendre l'enfant le vendredi soir et non le samedi à midi, et de le ramener à 19h00 et non 17h00. (Beaucoup mieux pour organiser des sorties).
- En revanche, je demande que les vacances d'été ne soient plus morcelées en tranches de deux semaines, comme c'était précisé dans le jugement, et j'ai une bonne raison.

En effet, plusieurs relations de mon ex-épouse, attestent qu'elles observent un enfant perturbé, je ne l'invente pas, alors que toutes mes attestations rapportent que l'enfant est heureux, épanoui d'être avec son père.
Quand je viens le chercher, il met plusieurs jours à sortir du contexte dans lequel il vit, et devient perturbé quelques jours avant de le ramener. Donc, pendant deux semaines, il n'y a qu'une période au centre où l'enfant revit, c'est pourquoi je demande à le prendre un mois complet, c'est pour lui cette demande.
Les seules fois où je vois l'enfant perturbé, comme décrit dans ses attestations, c'est quand il prend un appel téléphonique de sa maman, deux personnes qui ne se connaissent pas l'attestent.

Comme par exemple une personne qui écrit :
"... alors que nous partagions un après-midi conviviale entre amis, l'enfant a pris un appel téléphonique de sa mère, et c'est consterné que j'ai observé le changement d'attitude de l'enfant qui est devenu pétrifié. Ensuite il n'a plus dit un mot et n'a laissé que l'apparence d'un enfant retourné. Son angoisse communicative nous a tous gâché le bon moment que nous partagions..."

Pour lire les conclusions de mon avocat cliquez ici
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