Ma plainte à la gendarmerie.

(Avant de commencer, je cite que mon ex-épouse est déjà enregistrée depuis 2002 à la gendarmerie dans une autre affaire pour : Harcèlement, atteinte à la vie privée et violation de domicile.)

Alors que je me déplaçais au domicile de l'enfant le vendredi 01 août 2008 pour chercher notre fils, j'ai du porter plainte un mois seulement après réception du jugement.
Bien qu'interrogatif suite aux conversations téléphoniques avec notre fils qui était en vacances avec sa maman, je ne pensais pas que malgré le jugement les problèmes recommenceraient aussi vite.

Notre fils et moi avons donné dans le cauchemar du droit d'hébergement libre et il n'est pas question que ça recommence. Accepter une dérive une fois et c'est la porte ouverte à tout, ce qui suit va le confirmer. Un an de procédure alors qu'on pouvait s'arranger à l'amiable, j'ai accepté la requête de mon ex-épouse, je pense avoir fait le maximum pour que ça se passe au mieux, pour tout le monde. Moi je le respecte le jugement, par respect.

Je me suis donc rendu à la gendarmerie de Joigny où j'ai exposé le problème.

Et la... surprise ! Les gendarmes ont compris beaucoup de choses, et moi aussi.

Ils étaient en possession d'une lettre que m'on ex-épouse leur a transmise avant de partir en vacance, et qui explique en gros ceci : " … comme je terminerai la semaine sur mon lieu de vacances, je vous demande de ne pas prendre en considération la démarche de mon ex-mari s'il se présente chez vous… "
Les gendarmes n'avaient jamais rien vu de pareil, ils ont du attendre mon arrivée pour comprendre cette lettre. Se sentant presque corrompus, ils ont décroché le téléphone et ordonné à mon ex-épouse de rentrer sur le champ.

Cela donne une fois de plus, un avant goût de ce qui se passait pendant le droit d'hébergement libre, sans jugement...

Dans un premier temps, j'ai voulu simplement déposer une main courante. Les gendarmes m'ont répondu, " … il y a non respect prémédité d'un jugement confirmé par cette lettre d'influence, donc c'est une plainte ou rien … "

J'ai demandé par courrier cette lettre au procureur de Sens, hélas je ne peux pas l'avoir, pour savoir pourquoi cliquez ici.

Plus tard, parmi ses mensonges et dans ses conclusions, mon ex-épouse inventra le samedi 01 août 2008 qui n'existe pas, pour prétexter que j'ai porté plainte quelques heures avant son retour (retour en réalité le samedi 02 août).

Si j'avais été informé,je n'aurais pas eu besoin de me rendre chez les gendarmes.

Ne cherchez pas quelque chose de faux sur ce site, il n'y en a pas.