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Le jugement à Sens le 9 avril 2008 : Il faut préciser que nous devions passer en février. Bien entendu la date a été repoussée par mon ex-épouse qui n'était pas la, tout comme a été repoussée la cours d'appel de Paris. A Sens, mon avocat a exposé en deux mots, en moins d'une minute, pourquoi nous étions la. Au tour de mon ex-épouse de parler, une pluie d'allégations, de mensonges et d'affabulations sont tombées pendant plusieurs minutes. Madame le juge l'a reprise sans cesse et a fini par lui demander de quitter la salle plusieurs fois si elle ne se calmait pas. (Plus tard dans les conclusions de mon ex-épouse, Madame le juge de Sens s'en prend dans la figure aussi...) Mon ex-épouse a qualifié notre fils comme étant " son soutien psychologique ", et dans cette débâcle son téléphone a sonné. Alors que tout avait commencé dans le calme, j'ai du, une fois de plus, apporter des démentis comme je dois le faire depuis le début. A mon avantage, son avocat l'ayant encouragé et laissé se donner en spectacle, Madame le juge a bien constaté qu'un droit d'hébergement libre et amiable était bien du domaine de l'impossible. Madame le juge a aussi reconnu que lors de notre
divorce, il y eu une grosse erreur de la part du juge de l'époque
qui a laissé passer ce vice de forme. A la fin nous avons convenu d'une date pour l'audition de l'enfant, et qui devait l'emmener. Le 22 mai nous sommes repassés pour la deuxième et dernière audience. Ne cherchez pas quelque chose de faux sur ce site, il n'y en a pas.
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